envoyez-moi vos photos de détails d’architecture (2 photos maximum)
Pour chez olgayou
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Ma participation
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Versaillles
Photo à Riom dans le 63
Pfff
Oui une invitée
Dame poubelle , elle a le mérite d'exister ...
Enfin pour ceux et celles qui ne la louperaient pas ...
Mais je n'ai pas voulu couper la photo :)
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Ohé Mâtelôts !!!
Voici comme promis la feuille de route
pour cette nouvelle quinzaine
de croisière sur la mer des mots
que nous propose Jeanne “fadosi”
Un petit texte en prose incluant quelques expressions (3 ou 4)
incluant avec le mot œil ou le mot yeux, ça vous va ?
C’est juste le défi que je vous propose pour lundi 8 octobre
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Ma participation
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L'automne ressemble à un gourmet
Il faut avoir l'oeil quand on flâne sur les marchés
Les étalages colorés mettent l'eau à la bouche
Mais gare à la gourmandise
Parfois il faudrait mettre ses yeux dans sa poche
Heureusement que l'oeil de la sagesse veille
C'est bien beau d'avoir un grand coup de fourchette
Mais chaque matin quand on ouvre les yeux sur la balance
C'est là qu'il me prend l'envie de me crocheter les dents
Même en faisant les yeux doux au miroir
Qu'il est difficile de se priver quand on adore manger !
Dans ce monde si rude
Le plaisir des yeux va de pair avec le plaisir du palais ...
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Tel ce croissant de lune ...qui ne fait pas grossir au petit dej :)
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Comme chaque lundi
Un ciel pour : arlette
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Gandella a dit :
"En tendant la main vers le ciel, je pénètre l'Univers"
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Ma participation
Dans la semaine écoulée
Pour tous ceux qui pensent que je trafique les coloris
Et bien non la réalité est telle
De ma terrasse , le spectacle est toujours différent chaque jour, chaque soir , chaque instant ...
Mon volcan
Dans mon Auvergne jolie ...le soir arrive dans la douceur ces jours-ci !
Et valsent les nuances ...
Un autre jour ...
Et le dernier ciel
samedi 6 octobre 2018 ( 18h29 ) :)
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Devoir pour chez Lakévio
Gonflé !
/.../ Ma petite maîtresse m'aimait beaucoup ; elle me soignait, me caressait. Quand il faisait mauvais et que nous ne pouvions pas sortir, elle venait me voir dans mon écurie ; elle m'apportait du pain, de l'herbe fraîche, des feuilles de salade, des carottes; elle restait avec moi longtemps, bien longtemps; elle me parlait, croyant que je ne la comprenais pas; elle me contait ses petits chagrins, quelquefois elle pleurait. /.../
Voici un court texte de quelques lignes. (Vous aurez reconnu Les Mémoires d'un Anede notre chère Comtesse de Ségur). Le jeu sera d'en doubler le volume à l'aide d'adjectifs, d'adverbes et de propositions relatives ou subjonctives (qui, que, quoi, dont, où, lequel, duquel, avec laquelle, parce que, pour que, depuis que, pendant que, etc...) Rappelez-vous vos cours de grammaire ! Ben, quoi ? C'est la classe, ici !)
Exemple :
1) Un lapin bondissait sur le chemin quand le renard l'aperçut...
2) Un joli lapin roux bondissait sur le chemin, libre et allègre parce qu'il venait de se sauver du clapier de la ferme, quand, par un hasard malencontreux, le renard, qui cherchait depuis longtemps de quoi se mettre sous la dent, de ses yeux perçants l'aperçut...
Lecture des textes gonflés à bloc, lundi.
Oui, je sais, la maîtresse est gonflée !
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Ma petite maîtresse belle et douce comme un jour sans fin m'aimait beaucoup ; elle me soignait, me caressait telle une petite mère protectrice . Quand il faisait mauvais et que nous ne pouvions pas sortir, évidemment il fallait meubler le temps ,elle venait me voir dans mon écurie respirer la pureté d'une vie saine sans chichi ; elle m'apportait du pain, encore croustillant ,de l'herbe fraîche sur laquelle brillaient divinement les perles de rosées qui m'abreuvaient , des feuilles de salade j'en raffole et pourtant on disait qu'elles étaient le délice de l'escargot, des carottes gorgées de vitamines, on dit que ce sont des faiseuses de cuisses roses , à prouver encore chez moi ; elle restait avec moi longtemps, bien longtemps et pour cause ,insidieusement c'était comme une leçon de sa vie confiée , un plus à mon train train quotidien ; elle me parlait, de mes grandes oreilles bien dressées je n'en perdais pas une miette, croyant que je ne la comprenais pas; elle me contait ses petits chagrins, comme ses déboires amoureux et aussi la méchanceté des humains quelquefois elle pleurait. et oui je savais déjà du haut de mes sabots que la vie n'était pas une tartine de miel /.../
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Malgré ce que certains perturbateurs pensent
Nos éleveurs ont du talent
Laissons-les travailler dans la dignité nous offrir de la qualité chez nous en France !
Cliquez ici pour voir Mon film "Merci Antoine et Maxime pour vos photos du sommet de l'élevage ..." !